Les Vieux Carbus Mandubiens

Blog

En 2022,La Peugeot 301 fête ses 90 ans

Le 13/01/2022

La peugeot 301 fête ses 90 ans.

Peugeot 301 (1932)

 

Peugeot 301

Peugeot 301 (1932)

Marque Peugeot

Années de production1932 - 1936

Production70 497 exemplaire(s)

ClasseFamiliale

Usine(s) d’assemblageSochaux

Moteur et transmission

Moteur(s)1 465 cm3 de 35 ch

TransmissionPropulsion

Boîte de vitessesManuelle

Poids et performances

Poids à vide1 070 kg

Vitesse maximale90 km/h

Châssis - Carrosserie

Carrosserie(s)Berline

Dimensions

Longueur4 580 mm

Largeur1 500 mm

Empattement2 590 mm

 

La Peugeot 301 est une automobile du constructeur français Peugeot produite entre 1932 et 1936.

Sommaire

1Historique

2Technique

3Galerie

4Dans la culture populaire

 

Historique

Les Peugeot 301 étaient fabriquées à Sochaux et étaient les premiers modèles à être équipés de suspensions à l'avant à roues indépendantes. La tenue de route en était nettement améliorée et le volant ne vibrait plus.

Technique

La 301 est dotée d'un moteur quatre-temps, quatre cylindres à soupapes latérales et vilebrequin à deux paliers, d'une boîte de vitesses à trois rapports non synchronisés et marche arrière. La transmission aux roues arrière se fait par arbre et pont rigide à différentiel. Allumage par dynamo et distributeur. Refroidissement liquide avec pompe à eau. Démarrage électrique et manuel par manivelle. Le freinage est assuré par quatre freins à tambour commandés par câbles sans répartiteur. Frein de parking à main sur les roues arrière.

Suspensions arrière par ressorts à lames longitudinaux et avant par un ressort à lames transversal. Quatre amortisseurs hydrauliques.

Le pare-brise est entr'ouvrable, les vitres fonctionnent à manivelles, les essuie glaces sont électriques, la jauge à essence au tableau de bord est commandée par flotteur et chaînette. L'éclairage 12 V (ou 6 V ?) est commandé par un bouton rotatif situé au centre du volant.

La 301 existait sous plusieurs carrosseries : berline quatre portes, familiale sur châssis long, coach deux portes, cabriolet.

Galerie

    

Peugeot 301 Éclipse de 1934.

Une 301 cabriolet (1932-1934).

301 profilée de 1934.

Poupe de 301 cabriolet.

Version utilitaire de la 301.

Dans la culture populaire

Jean L'Hôte, l'écrivain et réalisateur lorrain, a fait de la Peugeot 301 un des « personnages » centraux de son roman à forte teneur autobiographique La Communale, qu'il porte lui-même au cinéma (La Communale) en 1965.

 

En 2022, la Peugeot 104 fête ses 50 ans

Le 13/01/2022

Les 50 ans de La Peugeot 104

La 104 est une petite voiture française construite par Peugeot à Mulhouse (Haut-Rhin).

Elle a d'abord été lancée en berline bi-corps à 4 portes, puis en coupé 3 portes. Celui-ci connut des déclinaisons sportives. La 104 a servi de base aux Citroën LN/LNA, Citroën Visa et Talbot Samba. À son lancement, en 1972, elle est la berline 4 portes la plus courte du monde (3,58m.)

La 104 est issue de l'Association Peugeot-Renault pour concevoir des éléments techniques et des pièces mécaniques. Du projet M-121 naissent donc la 104 mais aussi la Renault 14 en 19761.

Sommaire

1Évolutions de la 104

2ZS et compétition

3Peugeot 104 Peugette

4Notes et références

 

Évolutions de la 104

104 Berline 4p.

Modèles 1972 :

Début de la production de la berline 4 portes, avec le « moteur X » de 954 cm³ (46 CV DIN) en aluminium à culbuteurs et arbre à cames en tête entraîné par chaîne, placé transversalement à l'avant. Il est couché vers l'arrière de 72° et, comme les Peugeot 204 et les Austin-Morris Mini, placé au-dessus de la boîte de vitesses. La transmission primaire par pignon est particulièrement reconnaissable par son sifflement. Il est équipé pour la première fois de nouvelles bougies coniques sans joint et est décliné en 4 cylindrées différentes : 70x62 = 954 cm³, 72x69 = 1124 cm³, 75x69 = 1219 cm³ et 75x77 = 1360 cm³.

Modèles 1974 :

Lancement du coupé 3 portes qui dispose d'un hayon, contrairement à la berline. Grâce à l'empattement et au porte-à-faux arrière réduits, la longueur passe à 3,30 m.

Même moteur que la berline.

104 Coupé

Lancement du coupé 104 ZS, « moteur X » de 1 124 cm³, 66 ch DIN, version sportive (155 km/h), avec compte-tours, volant trois branches, phares à iode et jantes de style (avec enjoliveur).

Modèles 1977 :

Apparitions du moteur 6 CV et du hayon sur la berline, qui devient alors une 5 portes.

Modèles 1978 :

Feux de recul sur la 104 ZS.

Modèles 1979 :

La série spéciale sportive ZS2 (173 km/h), animée par le « moteur X » de 1 360 cm³ 93 ch DIN, est vendue à 1 000 exemplaires entre janvier et mars 19792. La 104 ZS2 se distingue de la ZS par ses jantes Amil en alliage léger, son bavolet avant, ses élargisseurs d'ailes, ses pare-chocs "minces" noir mat, son rétroviseur extérieur type obus, sa teinte spécifique gris vulcain et ses bandes de décoration latérales rouges, ses stripings ZS2. Apparition d'une berline 104 S (1 124 cm³, 66 ch) reprenant la sellerie de la série spéciale Sundgau.

Modèles 1980 :

Nouveau tableau de bord. Les 104 S (5 portes) et ZS sont désormais équipées d'un 1 360 cm³ de 72 ch DIN. Elles possèdent des pneumatiques taille basse sur des jantes de style larges (sans enjoliveur) et des bandes de décoration latérales.

Modèles 1982 :

Nouvelle face avant et nouveau rétroviseur extérieur aérodynamique noir mat. Essuie-glace de lunette arrière sur les 104 S et ZS.

Modèles 1983 :

Deux versions ZS au catalogue : 72 ch DIN (158 km/h) et nouvelle 80 ch DIN (164 km/h). Cette dernière, qui est identifiable à l'autocollant 80hp sur les ailes avant, est équipée de deux carburateurs simple corps. Sur les deux 104 ZS, la boîte à cinq vitesses est une nouveauté.

Modèles 1984 :

La gamme se réduit à la suite du lancement de la 205. La 104 ZS 72 ch disparaît.

Modèles 1985 :

Planche de bord et éléments extérieurs type Talbot Samba.

Modèles 1986 :

Suppression de la 104 ZS.

Modèles 1987 :

Nouvelle calandre couleur carrosserie "façon 205". Ne restent au catalogue que les berline GLS et coupés Z et Style Z, tous équipés du 1 124 cm³ 50 ch.

1988 : Fin de la production

    

104 Berline 4p.

104 Berline 5p. modèle S

104 Berline 4p.

104 Berline 5p. au Royaume-Uni

Prototype de Peugeot 104 break (non commercialisé)

ZS et compétition

La voiture donne lieu à une Coupe annuelle spécifique nationale entre 1976 et 1982 (au début lors du Tour de France automobile, puis sur circuits, et enfin sur Terre lors des dernières éditions - lauréat en 1977 Hervé Migeo).

Elle s'impose aussi aux 24 Heures de Chamonix en 1977 grâce à Jean-Pierre Nicolas et Henri Pescarolo, ainsi qu'à trois reprises lors de la Ronde de Serre Chevalier, en 1977 (Jean-Claude Lefebvre, 2e des 24 Heures de Chamonix 1977 et qui l'engage aussi parfois en championnat de France de rallycross naissant - 2e à Loheac en 1977, <1.6L-), 1981 (Timo Mäkinen) et 1982 (François Chauche). Ce dernier pilote remporte avec elle plusieurs courses en Championnat de France des rallyes Terre entre 1980 (Terres du Diois et de Provence) et 1981-82 (Terre du Quercy deux fois), alors que Pierre Lartigue empoche une victoire de classe au Rallye des 1000 Pistes avec sa groupe 2 en 1981.

En WRC, Jean-Claude Lefebvre (10e, alors associé à Jean Todt) gagne en 1977 le groupe 2 du Tour de Corse (10e de l'épreuve en 1976 Hannu Mikkola devant Claude Laurent, place reprise à son compte par Jean-Charles Martinetti en 1979). Le meilleur classement est obtenue par Timo Mäkinen lors du Rallye du Portugal 1978: 7e; au Rallye Monte-Carlo la même année Alain Coppier gagne la classe 1 du groupe 2 Tourisme, et en 1981 Pierre Toujan empoche la classe 2 de ce même groupe alors que Charbonneaux termine en tête de classe 1 en groupe 1 (Coupe des Dames pour Giselu Blume). En 1979 la classe 1 du Rallye Molson du Québec est remportée par Claude Laurent.

   

104 ZS

104 ZS

104 ZS

104 ZS kit "Rallye" au musée de l'Aventure Peugeot

 

 

Peugeot 104 Peugette

Peugette cabriolet au musée de l'Aventure Peugeot

Pour fêter les 25 années de collaboration entre Peugeot et Pininfarina, le designer italien présente, en 1976 au Salon de Genève, deux prototypes sur une même base de 104, les Peugeot 104 Peugette :

- un cabriolet minimaliste avec pare-brise rappelant le concept des Panhard Dyna Junior

- une Barquette « 1 place », avec saute vent.

La Peugette ne se contente pas d’être une version cabriolet de la 104. Pininfarina a travaillé sur l’abaissement des coûts, via une carrosserie entièrement symétrique. Le capot autoclave est identique à l’avant et à l’arrière, et sur les flancs, les panneaux des portes ou des bas de caisse sont identiques. Malheureusement, il n'y aura pas de déclinaison industrielle de ces propositions.

En 2022,La Citoën ROSALIE fête ses 90 ans

Le 13/01/2022

Les 90 ans de la ROSALIE

 

Citroën Rosalie

Citroën Rosalie

Citroën Rosalie

Marque Citroën

Années de production1932 - 1938

Production38 840 exemplaire(s)

ClasseHaute luxe

Moteur et transmission

ÉnergieEssence

Moteur(s)4 cylindres en ligne, 32 ch
et 6 cylindres 2 650 cm3 52 ch

Position du moteurLongitudinale avant

TransmissionPropulsion

Boîte de vitessesManuelle

Poids et performances

Poids à vide1 160 kg

Vitesse maximale90 km/h

Châssis - Carrosserie

Carrosserie(s)Multiples

Dimensions

Longueur4 690 mm

Largeur1 720 mm

Hauteur1 680 mm

 

La Citroën Rosalie désigne un ensemble de modèles automobiles construits par Citroën de 1932 à 1938.

 

Historique

Au départ, Rosalie faisait référence à un modèle « de course » de 8 CV « Spécial Yacco » qui a établi en 1933 plusieurs records de grande endurance sur l'anneau de Monthléry avec César Marchand, Julien Marchand, Raphaël Fortin et Louis Le Roy de Présalé, sur 25 000 milles, 50 000 kilomètres, 50 000 milles et 100 000 kilomètres, entre les mois de mars et avril1.

En 1932, le modèle 15 CV 6 cylindres Rosalie II bat le record mondial de distance et de vitesse de sa catégorie : 136 083 kilomètres, à 104 km/h de moyenne.

Citroën «Petite Rosalie» ou Rosalie des Records 4 au salon Rétromobile 2018.

En 1933, le modèle 8 CV « Petite Rosalie » tourne sur le circuit de Montlhéry entre le 15 mars et le 17 juillet. Il bat ainsi le record mondial de distance sans arrêt, en parcourant 300 000 kilomètres en 134 jours à plus de 93 km/h de moyenne (le modèle obtenant au total 106 records mondiaux divers)2. La même année, Citroën commercialise de manière assez confidentielle une Rosalie 11UD, première voiture particulière au monde équipée de série d'un moteur Diesel. Cylindrée 1 766 cm33.

Le modèle a été commercialisé sous différentes dénominations et puissances :

8 CV, 10 CV (des 4 cylindres), et 15 CV (une 6 cylindres)

7 et 11 Mi (à moteur culbuté) dérivés des 7 et 11 CV à traction avant.

Les carrosseries d'usine disponibles étaient le coach deux portes quatre glaces, la conduite intérieure (berline) quatre portes quatre glaces, et la limousine quatre portes six glaces.

        

 

 

 

 

 

 

 

Rosalie limousine.

Rosalie limousine.

Les miniature NOREV

Le 13/01/2019

Norev est une marque française de modélisme automobile créée en septembre 1945[1],[2]. Le nom de la société est l'anacyclique (mot écrit à l'envers) de Véron, nom des trois frères créateurs de la marque : Paul, Joseph et Émile Véron (ce dernier créera plus tard Majorette), et est aussi un raccourci phonétique de l'expression (les jouets de) « Nos rêves » (d'enfant).

Historique

Les premières productions étaient de simples jouets en plastique (machines à coudre, biberons, pot de chambre, machine à coudre, montres et finalement des garages et des autos miniatures au 1/72 environ), sans rapport avec la production à venir. Face au succès des autos Dinky Toys au 1/43, la firme se tourne vers le moulage plastique de véhicules miniatures en 1953[3].

Pour limiter les coûts de production, le plastique utilisé est teinté dans la masse : la rhodialite développée par Rhône-Poulenc et Rhodiaceta[4],[5]. Le premier modèle est la Simca Aronde. Ce premier modèle se reconnaît à son plancher métallique doré et sa fameuse boîte illustré d'un lapin jouant de l’accordéon. Viendront ensuite la Ford Vedette (Version civile et version Ambulance) la Citroën 15 Six, la Panhard Dyna Z et la 4CV ; ces premières séries ont des pare-chocs métallisés assez fins et fidèles mais des roues de couleur, des pneus blancs peu réalistes et une antenne radio pour la version « luxe ». Ces miniatures sont vendues dans des boîtes caisses (à partir de 1955) dont une des faces est illustrée du modèle et une autre reprend les principales caractéristiques et performances du modèle. Parmi les nombreux modèles produits, on peut citer la 2CV, la 2CV commerciale, la DS, la 203, la 403, la Vedette dépanneuse, les Simca Beaulieu, Chambord, Ariane, Ariane 4, Versailles, Miramas, Trianon et Marly Ambulance mais aussi des modèles étrangers tels que la LANCIA Aurélia, l'Alfa Roméo Guiletta et des véhicules de course Maserati et Mercedes.

Dans les années 1960, Norev reproduit une gamme assez large de véhicules de tourisme (Peugeot 204 et 404, Citroën 2CV, 3CV, AMI6…), de sport (Maserati Ghibli, Ferrari 246), de course mais aussi des utilitaires (Renault Estafette, Citroën HY, Peugeot J7), des camions (Berliet TBO porte automobiles, benne, porte engins, ....), des engins de travaux publics (Niveleuse Richier, grue pelleteuse articulée ...) et même un camion de pompiers. Les boîtes en carton sont remplacées par des boîtes à socle recouvertes d'un rhodoïd puis par des boîtes à opercules, dites boîtes à oreilles et enfin des boites à socles recouvertes par une coque plastique. Des essais de diversification avec des modèles peints plutôt que colorés dans la masse sont tentés mais sans succès (quelques modèles connus comme la Fiat 2300, la Ford Anglia, la Mini…). Afin d’accroître ses ventes, Norev produit des voitures avec puis sans vitrage et vendues dans des boîtes spécifiques à damier ou des boîtes en carton percées d'un orifice pour laisser voir la couleur du véhicule. Ce sera la série Baby.

La finesse de la gravure, la présence de pièces rapportées, rendent ces miniatures attrayantes et en raison d'un prix peu élevé, elles sont parfois rangées dans le domaine du jouet. La firme finira d'ailleurs par renoncer à l'usage de la rhodialite peu fiable dans le temps (c'est ce que l'on appelle la maladie du plastique qui frappe des marques comme Joustra ou Gégé. Norev va se tourner aussi vers la production de miniatures en métal sous l'appellation Jet-car après avoir essayé, dans la série Cométal, un retour vers un mélange entre plancher métal et caisse plastique. Les modèles Cométal sont la Renault 4L, la 2CV, la 2CV commerciale (dont une version publicitaire pour la maison de champagne Canard-Duchêne et la VW Coccinelle). Norev va aussi se lancer dans la fabrication de modèles au 1/86 : la fameuse série des « micro-miniatures » et sa variation en métal : la série des « micro-métals ».

La qualité et la diversité des Norev vont croître rapidement. Il est à noter que les modèles d'origine ont été repris et améliorés et sont toujours produits.

En 1976, la firme cède au créateur de la marque Eligor quelques modèles : Citroën HY, 3CV Fourgonnette, Traction, Rosalie, mais aussi Renault 4CV, Peugeot 203 et 403, Chrysler New-Yorker et bien d'autres. C'est l'entreprise LBS, dirigée par Louis SURBER, qui assurera la fabrication de ces miniatures destinées aux collectionneurs.

En 1986, la société est reprise par Marc Fischer. Après avoir abandonné la production de jouets, le modéliste va alors s'orienter vers le marché des miniatures de collection alors en plein essor. Norev produit des répliques officielles de voitures françaises vendues par les concessions Peugeot et Citroën ; Peugeot sera le symbole de ce nouveau départ avec la 206. Une partie des miniatures vendues chez Renault provient également de chez Norev. La société a également réédité les modèles originaux qui sont fabriqués en Chine et vendus sur abonnement.

Les collections de miniatures, vendues en très grand nombre dans les librairies, ont permis d'amortir la création de nouveaux modèles en vendant à plus faible prix des miniatures moins détaillées mais issues des mêmes moules que la production destinée au commerce traditionnel.

La firme est toujours en activité commerciale en France à Vaulx-en-Velin (69120) mais la production est délocalisée en Asie du Sud-Est. Elle produit des véhicules aux échelles de :

  • 1/18 - gamme récente
  • 1/43 - comme à l'origine
  • 1/64 - Minijet
  • 1/86 - dès 1957 avec, à partir du début des années 1970, une série en métal les « micro-métals »

Les échelles proposées par NOREV en 2018 :

  • 1/12
  • 1/18
  • 1/43
  • 1/50
  • 1/64
  • 1/87

Source : http://www.norev.com/fr/36-catalogue# [archive]

Norev s'est lancé avec succès dans la reprise de marques mythiques telles que CIJ, JRD ou Spot On. La société fait fabriquer par des entreprises tierces les reproductions de Dinky Toys qui sont commercialisées par les éditions Atlas.

Depuis, la marque Norev s'est lancée dans les panneaux de signalisation routière, les circuits routiers et l'agriculture (ferme, tracteur miniature et figurines d'animaux fermiers) en jouet.

Qu'est ce que c'est ?????

Le 31/12/2018

Mais qu'est ce que C'est ?????Sam 0606

Dans Autrefois

La Marque PEUGEOT

Le 31/12/2018